Le chef
Serge Cutillo
« La cuisine alsacienne a toujours été en moi, j’ai toujours eu ce goût pour le terroir. »
La cuisine et moi, c’est une histoire qui dure depuis toujours !
Je suis né à la campagne dans un corps de ferme, à Dambach-la-Ville précisément.
Issu d’une grande fratrie de 7 enfants, ma mère cuisinait donc pour de grandes tablées tous les jours. Nous élevions cochons, lapins, poules, canards (…) Nous faisions tout nous-mêmes ! J’ai donc baigné toute mon enfance dans cet univers : les odeurs incroyables qui venaient de la cuisine, les grands repas conviviaux, les plats traditionnels savoureux…
A l’origine, je voulais être pâtissier, mais je me suis finalement dirigé vers la cuisine. J’ai eu la chance d’apprendre aux côtés de Bernard Zwingelstein, ancien chef saucier du France, au restaurant Le Raisin où j’ai passé mon CAP cuisine. Après mon diplôme et un an de service militaire, retour en cuisine à La Table Gourmande à Fergersheim. S’ensuivent quelques années en Suisse dans différents restaurants gastronomiques, où j’officie en tant que sous-chef.
Je reviens ensuite en France et prends un poste au restaurant du Hilton à Strasbourg aux côtés d’Éric Bonamin, pendant trois belles années. A 25 ans, premier poste de Chef : je pars diriger les cuisines de chez Kirn Frick-Lutz. Je continue ma carrière dans le traiteur et rejoins Kieffer, où je m’occupe de nombreux banquets pour les étoilés, et où j’ai la chance de rencontrer Emile Jung. Je fais un détour d’un an et demi par Carcassonne, où je m’occupe de l’ouverture d’une brasserie alsacienne. Puis, retour en Alsace, où je fais la rencontre marquante de Jean-Louis de Valmigère, qui m’engage pour le Strissel dont je reste le Chef pendant neuf ans. Direction ensuite la Rue du Renard-Prêchant pour l’ouverture du Rutsch, aux côtés de Séverine de Valmigère. « Je t’accompagne pendant 6 mois » … Ce sera finalement 6 ans.
La cuisine et moi, c’est une histoire qui dure depuis toujours !
Je suis né à la campagne dans un corps de ferme, à Dambach-la-Ville précisément.
Issu d’une grande fratrie de 7 enfants, ma mère cuisinait donc pour de grandes tablées tous les jours. Nous élevions cochons, lapins, poules, canards (…) Nous faisions tout nous-mêmes ! J’ai donc baigné toute mon enfance dans cet univers : les odeurs incroyables qui venaient de la cuisine, les grands repas conviviaux, les plats traditionnels savoureux…
A l’origine, je voulais être pâtissier, mais je me suis finalement dirigé vers la cuisine. J’ai eu la chance d’apprendre aux côtés de Bernard Zwingelstein, ancien chef saucier du France, au restaurant Le Raisin où j’ai passé mon CAP cuisine. Après mon diplôme et un an de service militaire, retour en cuisine à La Table Gourmande à Fergersheim. S’ensuivent quelques années en Suisse dans différents restaurants gastronomiques, où j’officie en tant que sous-chef.
Je reviens ensuite en France et prends un poste au restaurant du Hilton à Strasbourg aux côtés d’Éric Bonamin, pendant trois belles années. A 25 ans, premier poste de Chef : je pars diriger les cuisines de chez Kirn Frick-Lutz. Je continue ma carrière dans le traiteur et rejoins Kieffer, où je m’occupe de nombreux banquets pour les étoilés, et où j’ai la chance de rencontrer Emile Jung. Je fais un détour d’un an et demi par Carcassonne, où je m’occupe de l’ouverture d’une brasserie alsacienne. Puis, retour en Alsace, où je fais la rencontre marquante de Jean-Louis de Valmigère, qui m’engage pour le Strissel dont je reste le Chef pendant neuf ans. Direction ensuite la Rue du Renard-Prêchant pour l’ouverture du Rutsch, aux côtés de Séverine de Valmigère. « Je t’accompagne pendant 6 mois » … Ce sera finalement 6 ans.
Chez Yvonne
une histoire de cœur
J’ai eu le privilège de connaitre Yvonne Haller car je réalisais pour elle des escargots et des tourtes lorsque je travaillais chez Frick-Lutz. C’était une grande dame, qui me saluait toujours même quand je la croisais 15 ans après.
« Chez Yvonne » a toujours été à mes yeux l’incarnation de LA winstub. Elle est bien sûr la plus connue, car nombreuses personnalités s’y sont arrêtées… Mais ce n’est en rien un hasard. Elle représente la vraie winstub à l’alsacienne. Celle qui régale et réunit, dans son cadre chaleureux et authentique. On y mange, on y boit, on refait le monde…
J’ai à cœur d’entretenir cette image, mais également de pousser toujours plus loin la qualité de sa cuisine. Continuons d’écrire ensemble l’histoire de cette formidable maison !
« Chez Yvonne » a toujours été à mes yeux l’incarnation de LA winstub. Elle est bien sûr la plus connue, car nombreuses personnalités s’y sont arrêtées… Mais ce n’est en rien un hasard. Elle représente la vraie winstub à l’alsacienne. Celle qui régale et réunit, dans son cadre chaleureux et authentique. On y mange, on y boit, on refait le monde…
J’ai à cœur d’entretenir cette image, mais également de pousser toujours plus loin la qualité de sa cuisine. Continuons d’écrire ensemble l’histoire de cette formidable maison !
